Conclusion et remerciements
La construction d’un compresseur à lampe est manifestement réservée à des professionnels. Je les estime grandement car ce n’est pas une mince affaire.
Le compresseur que nous avons construit ne fonctionne pas véritablement, mais il nous a appris à travailler de façon organisée.
Nous pouvons tout de même nous estimer heureux que l’on ai du signal en sortie. C’est inespéré si l’on s’en tient aux différents avis de quelques professionnels de la construction d’appareils à lampe...
Je n’oublierai pas de dire que la construction de cet appareil qui marche à moitié m’a tout de même coûté plus de 1000F. Il est donc complètement absurde de dire que certains appareils de très bonne qualité que l’on peut trouver sur le marché sont chers.
Quand au fait d’avoir rédigé ce pavé que vous n’avez peut-être même pas lu, je dois dire qu’il m’a pris un temps énorme. Mais que d’enrichissement.
La technologie des lampes n’est pas encore morte.
Vive l’analogique ! !
Je tiens à remercier tous les vendeurs patients à qui j’ai pu poser grand nombre de question ainsi que tous les internautes audiophiles qui se sont intéressés à mon schéma. Je n’aurai pas pu faire un tel mémoire sans eux.
Merci aussi à Coco et à Sébastien, le nouveau zuppi et enfin un super gros merci à Clément Sourdillat qui m’a grandement aidé dans la réalisation du projet. Grâce à lui, et avec lui, j’ai pu construire mon compresseur au CNAM et ainsi avoir accès au matériel nécessaire pour faire du travail propre.
A ce sujet, je tiens à remercier les profs du CNAM qui nous ont beaucoup aidé et qui nous ont permis d’emprunter le matériel et de piquer quelques résistances.
Merci à tous ! ! !