ROMEO DOIT MOURIR

(Romeo must die)

de Andrezj Bartowiak

Avec Jet Li/Lee; Aaliyah (consonne demandée); Isaiah (j’ai dit " consonne demandée "!) Washington, Russel Wong

Musique nullos de Stanley Clarke et de pleins de rap pourrave

Genre: Shaq-es-Pire tésivire ecav sel eip!!!!!

USA- 2h - 2000

Distribué par Warner

Sortie le 01/11/2000

Parce que son frère s’est fait tué en Amérique, Jet Li quitte la Chine pour aller latter le responsable. Il fond grave pour une quebla et clanchedé une war of gangsta.

Cela commence mal avec en guise de bande son du rap pourri (imaginez des mecs qui chantent du Withney Houston) qui sonorise des images bien photographiées, unique bon point, pour continuer encore plus mal avec une intrigue faussement complexe mais vraiment nulle. Car ce n’est pas tant le fait d’avoir photocopié le script du China Girl d’Abel Ferrara (le bon, pas celui de The Beurkout) qui peut gêner mais bien l’incompréhension totale des " auteurs " pour les notions que véhicule le mythe de Romeo et Juliette (le livre, sans Leornado donc. Revoyez vos cours du lycée). D’une fable contre l’intolérance on passe à un film où Jet Li avoue à Aalaiuaayya que tout les chinois font du kung fu parce que c’est la loi! Etonnant, non?

Cependant, pour résumer vraiment le sens de Romeo doit (vraiment) mourrir (de honte), un seul mot suffit: Arnaque.

1) Jet Lee, pourtant star à l’affiche, ne doit apparaître que 40 minutes maximum sur les deux très longues heures de métrage.

2) L’héroïne (Alyayyayyay) est censeé être une bombe sexuelle. Tout le monde, dans le film, se retourne sur elle. Elle est, en fait, aussi sensuelle qu’un dictionnaire (sauf Larousse).

3) Annoncé comme un action-movie, le public devra se contenter de 10 minutes de câbles (avec des acteurs au bout) qui bougent sur l’écran.

4) L’unique surprise du film est de montrer les os cassés, lors des bastons, par un système de radiographie. Ce procédé est en fait directement piqué sur un film de karaté FRANCAIS nommé Bruce contre attaque (ou sa suite, je ne me souviens plus très bien) de André Kobb (1982). La star de ces chef-d’œuvres était...Bruce LE.

5) On ne peut pas être remboursé ni du film, ni de la noyade par soupe musicale que nos oreilles ont subis.

Note 1/6

Yann Born to Defend Moreau

Retour à l’accueil kurioos

Retour dans l’antre du cinemaniaque